1. |
Lady Butterfly
03:19
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D’un seul battement de cil qui transperce les airs.
Provoquant dans les cœurs, la foudre et le tonnerre.
La femme qu’on appelle papillon ensorcelle les âmes,
jouant de ses effets ,aux milles charmes.
Elle est un doux parfum en suspension dans les airs.
Une beauté cruelle qui le cœur ,vous serre.
Une fois dans ses griffes, on ne peut lui échapper.
Otage de sa beauté, on devient son prisonnier.
Elle est la parfaite inconnue,sillonnant le pavé de nos rues
fascinant jusqu'au moindre des vauriens.
J'aimerai connaître son prénom, le susurrer tendrement,
à la manière des amants rodé au jeu de la séduction.
Déesse de mes songes, déesse du mensonge.
Jamais on ne la quitte , car c’est elle qui jette l’éponge.
Plus d’un pour elle aurait décrocher la lune,
voir même essayer les anneaux de saturnes.
Si un jour par malheur vous la croisez ,surtout ne la regardez pas.
Même un clin d’œil furtif, pourrait sonner le glas.
Il vous changerait immédiatement en statue de pierre,
lourd tribu à payer pour un regard éphémère.
Refrain :
Lady Butterfly gives my heart bacK
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2. |
My Love
03:18
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Ma bonne étoile m’a dit
tu n’as qu’ à me suivre,
à croire qu’ elle s’était mariée avec mon petit doigt.
Des parfums du voyage il faut que tu t’enivres,
marche , marche, surtout ne te retournes pas
Il ne m’en fallait pas plus pour que je me décide.
J’ai pris un sac de hasard ,
je l’ai rempli de vide
une boussole versatile ,
comme futur alliée,
le vent comme seule guide
et lien de parenté.
Refrain :
My love My Love
Venus à vous pour un ultime devenir.
Je vous avoue mon envie de partir.
J’ ai usé mes semelles
sur les chemins de despérados,
je me suis fait tanné le cuir
par le dieu hélios.
J’ai cherché un but
en me dirigeant vers midi,
j’ai connu la lutte
aux alentours de minuit.
Des inconnus m’ont accueilli les bras ouverts,
d’autres m’ont chassé en me jetant des pierres.
La vie s’est mise à défiler autours de moi,
le temps s’est arrêté , pour ne plus faire sa loi.
La gorges sèche , les yeux remplis de larmes
je suis resté bouche bée devant autant de charmes,
et là j’ai vu le fond l’âme des contrées sauvages,
j’ai fait l’amour aux étendues volages.
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3. |
Gravé au Couteau
03:23
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Te souviens-tu de nos étreintes ardentes?
Te souviens-tu des lendemains qui chantent?
La main sur le cœur, prêts à dégainer,
les mêmes rengaines, nos grandes idées.
Celles qui allaient changer peu à peu le monde.
Celles qui feraient éclater la vérité.
Te souviens tu combien on s’aimait?
Te souviens tu combien on semait?
Pour bien souvent ne jamais rien récolter,
si ce n’est des certitudes, et de fausses vérités.
Mais on s’en moquait on vivait dans l’allégresse,
brûlant toujours la chandelle par les deux bouts.
Celle qui illuminait alors notre jeunesse,
la flamme entretenant notre noble courroux.
REf: Quelques lignes pour toi mon ami,
quelques mots gravés au couteau,
pour lutter contre l' oubli….Utopie.
Te souviens tu, que tous nous voulions t’embrasser?
Te souviens tu, que tous nous voulions t’épouser?
Comme on épouse un amour d’enfance,
aveuglément, sans en mesurer les conséquences.
Te souviens-tu de ces grandes épopées?
Magnifiques odes, écrits à ta gloire.
Te souviens tu que tu faisais subitement naître
quand il croisait un instant ton regard?
Un drôle de sentiment en chacun des êtres,
un sentiment appelé tout simplement espoir.
Te souviens-tu le jour ou je me suis noyé?
Dans l’océan provoqué par mes larmes.
Car j’ai compris que tu n’étais pas l’arme,
qui allait tous simplement nous sauver.
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4. |
Embrase Moi
03:38
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Même si j’ai conscience de ne pas toujours le mériter,
mon manque de courage est souvent une vérité.
Je saute alors de petits rien, en petit rien,
laissant la place aux démons du quotidien.
Je n’arrive pas toujours à en venir à bout,
il n’est pas facile de leur tordre le cou.
Le temps façonne patiemment les habitudes,
transformant les passions en jeunes filles prudes.
Elles sont le mal , mais elles sont la vérité
on les avale mais au bout du compte elles nous ont dévoré.
Je ne veux pas tomber sous coup de cette loi.
Alors je te le demande encore une fois,
embrase moi au plus profond de l’âme
donne moi encore un peu de ta flamme
elle qui ma si souvent réchauffé
embrase moi, embrasse moi
je ne te le demande pas comme un mendiant
qui craint au fond de lui de ne plus être aimé
je n’ai pas besoin d’une quelconque pitié
je veux que tu me vois comme au premier instant
sur ton visage les stigmates de l’ivresse
sur ma peau la douceur de tes caresses
une fièvre aux traces indélébiles
se sentir un cour instant invincibles
Pas d’admiration futile, de l’émotion cash
pas d’amour usé coupé à la hache,
un jardin secret pour toi et moi
alors je te le demande encore une fois
embrase moi au plus profond de mon âme
donne moi encore un peu de ta flamme
elle qui ma si souvent guidé
embrase moi, embrasse moi
je ne te promets pas des monts et des merveilles
un ciel sans nuage jusqu' à la carte vermeille
si tu veux être ma reine , je serai ton roi
alors je te le demande encore embrase moi embrasse moi.
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5. |
Vieux Con
03:42
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REFRAIN
Hey c' était bien mieux avant.
la télé , le rap ,le franc/vieux con
Hey c'était bien mieux avant//vieux con
les fringues,l'amour,le temps./vieux con
Hey c'était bien mieux avant
le futur ,le passé ,le présent
Hey c'était bien mieux avant
travail, famille,vieux con
avant on savait sur quel pied danser
le monde était simplement coupé en deux
les méchants et les gentils chacun de leur côté
les moutons rangés sagement au milieu
avant le vie n'était pas une masse qui sonne
des pantins aux yeux rouges scotchés au téléphone
la parole du coeur n' était pas l' otage
de ces millions d'échanges sans visage
avant que la jeunesse était belle
pleine de promesses, pleine d'avenir
on voyait fondre sur nous les hirondelles
pas des faucons à en plus finir
avant on ne nous cachait pas tout
le pouvoir et l' argent ne faisaient pas qu' un
pour former le plus grand des guru
qui laisse tant de gens sur le bord du chemin.
avant on savait prendre le temps
maintenant il est insaisissable
comme une petite brise de printemps
alors qu' il n' était que grain de sable.
avant il y avait de la vrai musique
avec des vrais morceaux dedans
pas comme toutes ces chansons numériques
des un , des zéro qui nous laissent sans...
avant sans conteste c' était beaucoup mieux
c'est ce que disait aussi nos aïeux
chacun a sa génération perdue
elles se succèdent dans les point de vues
la nostalgie, cette mauvaise conseillère
te pousse à regarder dans le rétro
afin d' expliquer qu'avant tout était plus beau
et te fait pousser de belles ornières.
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6. |
L'Empire des Anges
03:57
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7. |
Madame
03:34
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J’aurais pu vous dire, oh combien!
J’aime vos cheveux j’aime votre parfum.
La silhouette que dessine vos reins,
mais je ne dirai rien ,Madame!
J’aurais pu aisément vous chanter,
sous la forme de beaux d’alexandrins.
Rendre grâce à votre beauté,
mais je ne chanterai rien,Madame!
J’aurais pu clamer ,déclamer à tout va,
que je ne suis qu’ une humble chose,
vivant dans l’ombre de vos pas,
mais mon orgueil ne l’ose,Madame!
J’aurais pu alors pauser mes valises,
dans votre nid chaleureux,
sans qu’il n y ai aucune méprise,
mais je les garde, même celles sous les yeux.
J’aurai pu aussi vous dire mainte fois,
combien mon être était en émoi,
quand pour la première fois je vous ai vu,
pour moi c’est entendu.
Je ne vous ferai pas ce plaisir,
une fois de plus je resterai acerbe.
Je préfère mettre à mal mon désir,
et flatter l’hypocrisie du verbe ,madame!
REf:hé hé ! Fier comme un coq,
mais poule mouillée.
Solide comme un rock,
Mais tellement fissuré.
madame vous me regardez sans rien dire,
vos yeux me glace le sang.
Dois je craindre le pire?
Pour ce qu’il vous reste de sentiments.
Madame je ne suis pas dans votre esprit,
mais je n’ai pas de peine à deviner,
ce qui peut bien s’y dire
à cet instant précis…..
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8. |
Montagnes Russes
03:35
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A force de courir je ne savais plus marcher,
je pressais le pas sans savoir pourquoi,
comme s’il y avait quelque chose à rattraper,
à la recherche d’un grâle bien sournois.
Certains parlent d’une fuite vers l’ avant,
ou bien du cours du temps sortant de son lit,
d’autres trouvent refuge dans le déni,
en se cachant derrière des médicaments.
On presse le pas pour ne pas devenir vieux,
pour rester dans le coup pour ne pas être hors jeu,
de peur que la société nous pointe du doigt,
et que s’en remettre à dieu ne suffise pas.
REFRAIN:
Le temps c' est comme les montagnes russes
on passe du vertige au néant,
il nous en faut toujours plus
pour nous sentir vivant.
Du temps sans vergogne, je me suis fait baron,
un titre de petite noblesse,
mais qui laisse à l’ abri ma paresse,
du regard noir du qu’en dira t’on.
Du temps je me rappelle bien en avoir déjà eu,
mais sans rire je ne sais plus exactement quand,
à l’ époque il y en avait plein les rues,
à l’époque il ne s’appelait pas argent.
Le temps est un de ces doux et précieux nectars,
venant d’un fruit qu’il ne faut jamais trop pressé,
au risque de le voir entre ses mains se faufiler
au risque d’en être un jour complètement avare.
La moralité de mon histoire c’est qu’il y en a pas,
chacun voit midi à sa porte et c’est très bien comme ça,
moi je vis au rythme des battements de mon cœur,
c’est le décompte naturel qui sonnera mon heure.
Et Le temps n’est qu’une vaste et belle escroquerie,
car au fond il n’a jamais réellement existé,
si ce n’est dans la majorité de certains esprits,
qui voulait donner au ciel un peu plus d’humanité.
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9. |
Ma Plume
03:20
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Ma plume habite un magnifique pays,
Une contrée qui n’ a pas de frontières.
Là où le soleil et la lune sont unis
le meilleur et le pire sous la même bannière.
Ma plume habite le pays imaginaire,
si cher aux yeux de la charmante Alice
Là où les mots sans retenue glissent,
pour former des cascades de lumière.
Ma plume habite une sorte de bulle,
où il est bon à tous moments de se réfugier.
Là ou le plus mauvais des funambules,
n'aurait même pas peur de tomber.
Ma plume habite le plus grand des royaumes
où je me targue d’ être un prince sans rire.
Ce qui me permet de tenir dans la paume,
des tonnes d’idées qui font rougir.
REF:Mon cœur , ma loi, ma vie , ma flamme
mon sang ,ma foix ,mes peurs mes larmes
mes rires ,mes joies,mes sueurs,mon arme
Mon cœur , ma loi, ma vie , ma flamme
mon sang ,ma foix ,mes peurs mes larmes
Mon œil ,mes rêves,ma plume ,mon âme.
Ma plume habite le pays des beaux parleurs.
Ceux qui ont la langue bien pendue,
au point de devenir souvent de sots parleurs,
des pourvoyeurs féroces de l’incongrue.
Ma plume habite la province des paons,
ceux qui se pavanent sur tous les parterres,
faisant la roue à en faire pousser les dents,
à des poules qui n’ en demandent pas tant.
Ma plume habite la patrie de l’ignorance,
celle qui se veut donneuse de leçons,
qui élit à chaque fois un nabot Léon,
pensant qu’il représente la dernière chance.
Ma plume habite dans une belle maison,
tout en haut de cet astre blanc la lune
qui illumine jusqu’au moindre des cons,
sans distinction aucune.
C’est une fleur qui pousse sur le bihtume,
prose combat ,ou close poésie.
Un garde fou à mon immense ennui,
le prolongement de mon âme , ma plume.
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10. |
Mon ame
03:28
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Quand la poésie quittera mon crâne,
que mes idées auront fané.
Mon cerveau une coquille vide,
ma muse une prostitué.
L’écriture pour l’argent,
pas plus lourde qu’un peu de vent,
de l’ esprit bas de gamme,
qui sauvera alors mon âme.
Quand mes utopies ouvriront le gaz pour se suicider,
tellement elles ont honte, de ne plus rien dominer,
tellement devenues lâches,
qu’au fond de moi elles se cachent,
de peur qu’on les blâme,
qui sauvera alors mon âme.
Quand mon cœur ne sera qu’une vaste plaine désolée,
avec toujours les mêmes sentiments qui se battent en duel
,
la haine ,le courroux , la splendide reine morosité,
la plus sombre de ces dames,
qui sauvera alors mon âme.
Quand l’ amour ne me reconnaitra plus comme son enfant,
le peu de tes baisers lui serviront de blanc linceul,
je me serai réveillé encore une fois tout seul,
tu ne seras plus ma femme ,
qui sauvera alors mon âme.
Quand ce maudit temps après qui on court ne sera qu' une putain,
qui s’offre qu’aux prétendants qui en ont les moyens,
le temps c’est de l’argent ,l’argent ce n’est que du temps
le temps comme sésame,
qui sauvera alors mon âme.
Quand les écrans seront devenus mon seul terrain culturel,
et que mes amis ,des amis proches du virtuel,
mes relations sociales, prés du degré zéro,
ma vie un réseau de ram,
qui sauvera alors mon âme.
Quand les larmes de mon corps ne suffiront plus à éteindre,
cet incendie qui ravage les plaines de mon cerveau,
ma vie une bête blessée qui ne cesse de geindre,
mes joies dansant dans les flammes,
qui sauvera alors mon âme.
Quand les jours se ressembleront tous
au point de former l’ennui,
des jours sans fin
,qui ressemblent à un vaste cachot,
où l’ on tourne en rond, jusqu’à un probable infini,
sans humour, et sans drame,
qui sauvera alors mon âme.
quand je serai obsolète ,
bon à mettre à la casse,
là où on entasse tous ces vieux débris qui embarrassent,
ceux dont les souvenirs reviennent péniblement à la surface
l’antichambre des flammes ,
qui sauvera alors mon âme.
Quand je ne serai que poussière ,
les os rongés par les vers,
enfermé dans une petite boite, à six pied sous terre.
La mort sera devenue mon seul vrai compagnon,
le silence mon unique came,
qui sauvera alors mon âme.
REFRAIN :
Bouddha Allah , Jésus ,Krishna ,mais qui ….Sauvera mon âme
Argent, égo ,jouissance, gloire, mais qui ……Sauvera mon âme
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11. |
Grandes Gueules
02:50
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Caressant sans complexe mon côté iconoclaste,
j’ai décidé de parler sans détour de ma caste.
Certains de mes frères peut être m’en voudront.
Qu’on me châtie si je mérite plumes et goudron.
Des grandes bouches donc je vais vous parler.
Tout le monde en a plus d’une dans son entourage.
En société comme le poisson, elles nagent
En toutes circonstances prêtes à se gargariser.
Elles font le siège de tous types de conversations,
s’en emparant de front comme d’une place forte.
Déversant en continue leur flot d’élocutions,
laissant la moitié des personnes socialement mortes.
Elles ont le don d’agacer les plus calmes.
Pour foutre la honte , souvent elles gagnent la palme.
Qu’elles se pavanent , ou cherchent les querelles.
Ce n’est jamais pour sûr à moins de cent décibels.
Les gladiateurs de l’arène buccale trouvent grâce,
aux oreilles des êtres que rien ,ni personne ne lassent.
Ceux dont la nature est proche du commun de l’ennui,
qui préfèrent la mauvaise à la non compagnie.
Ils peuvent donc compter sur un large auditoire.
Car règne dans toutes les couches de la société.
Une forte mélancolie qui est plus que notoire,
bien plus pesante que des bavardages insensés.
Certains vont même prendre ceci pour une distraction
Se considérant comme au théâtre de la vie,
avec un peu de chance il y aura du monde au balcon,
ce qui permet un court moment de tuer l’ennui.
Et si ce n’est le cas pas besoin de somnifère,
Pour étaler un sérieux coup de barre,
vous permettant de passer rapidement au vestiaire,
pour vous enfuir vers des cieux moins bavards.
On connaissait donc le délit de la sale gueule.
Il faut se méfier du déni de grande gueule.
L’un évidemment n’empêche pas forcément l’autre,
je peux en parler en tant que sérieux apôtre.
Refrain :
Quelles soient fines quelles soient bée ou cousues
quelles soient Georges, quelles soient bonnes, ou d’égout
on reconnait les grandes bouches, on reconnait les grandes bouches
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12. |
Phare Ouest
03:57
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Reçois ces mots mon ami , à qui je n’ ai pas souvent écrit.
Entre dans mon cœur n’ en sors plus, garde cette place qui est tienne.
Entre nous pas de nostalgie ,ce véritable ennemi
une morsure de l’ âme à nue, que je ne ferais jamais mienne.
Je veux juste te rendre hommage, pour tout ce que tu m’ as donné,
même quand l' orage se mettait à gronder.
Il y avait nous , il y avait le reste,
seul au beau milieu de notre petit Phare Ouest.
Nous avons traversé ,ces mêmes larges océans
à bord des mêmes galère, guidés par les mêmes vents.
On voulait voire le monde, embrasser le monde
refaire le monde, sauver le monde.
Mais la vie cette garce, belle imprévisible catin,
jamais en manque de farces, de vestes en peau de chagrin,
en a décidé autrement ,il fallait qu'on lâche du lest
s'éloigner pour toujours de notre Phare Ouest.
Si la vie était à refaire, qu’on avait une deuxième chance,
contre rien au monde, je n’ échangerai notre enfance.
Les cabanes dans les bois, les foot à la récréé,
nos rires nos pleurs, nos joies ,les fois ou on s’est fâché.
Je n’ attendrai surement pas le crépuscule de la vie,
pour savourer le bonheur d' être ton ami.
Refrain :
Souvenirs profonds éclairent mon Phare Ouest!
Il y' a temps d' émotions dans mon Phare Ouest!
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